La violence des dominations, jusque dans nos corps.
Technique : tracé et colorisation numériques.
•
Technique : tracé et colorisation numériques.
•





Mise en image d'un texte rédigé par un certain Pierre lors de la campagne des cahiers de doléances de 2019. Phrase simple mais assez parlante qui illustre le ras-le-bol du mépris politique, ainsi que la violence de la domination de classe. Citation découverte dans l'émission "À l'air libre" de Mediapart du 10 décembre 2024 et présente dans le film documentaire « les doléances » réalisé par Hélène Desplanques.











Illustration sur les injustices, les violences sociales et sur les inégalités jusque dans le corps.
-
Dans ses propos, Édouard Louis met en lumière comment les conséquences d’une même politique n'atteignent pas les personnes de la même manière en fonction de leurs milieux sociaux. Si l’on ignore cet impact physique sur le corps et l’esprit des gens, cet impact existentiel de la politique sur les pauvres, alors notre grille de lecture est faussée, alors nos réponses politiques ne sont pas à la hauteur de la réalité des enjeux sociaux. De fait, cela nourrit la fracture sociale entre les dominants et les dominées.
-
Méconnaître ces enjeux vitaux de la politique provoque un décalage de perception tel, qui explique au mieux l’aveuglement des classes privilégiées face aux souffrances des pauvres, alimentant par ailleurs leur snobisme… qui explique au pire leur cynisme, si l’on considère qu’ils choisissent de les ignorer et d’y rester insensibles.
-
Voire, pourrait-on s'interroger comme le fait E. Louis sur le fait qu'ils puissent y avoir « Un plaisir dans cette cruauté à faire souffrir » ?
-
Citations extraites des écrits de l'écrivain Édouard Louis dans « Qui a tué mon père » et d'un entretien réalisé par Blast dans l'émission « Le Macronisme est la cause, et l'extrême droite la conséquence » (21 Juin 2024), menée par la journaliste Soumaya Benaïssa.
-
Dans ses propos, Édouard Louis met en lumière comment les conséquences d’une même politique n'atteignent pas les personnes de la même manière en fonction de leurs milieux sociaux. Si l’on ignore cet impact physique sur le corps et l’esprit des gens, cet impact existentiel de la politique sur les pauvres, alors notre grille de lecture est faussée, alors nos réponses politiques ne sont pas à la hauteur de la réalité des enjeux sociaux. De fait, cela nourrit la fracture sociale entre les dominants et les dominées.
-
Méconnaître ces enjeux vitaux de la politique provoque un décalage de perception tel, qui explique au mieux l’aveuglement des classes privilégiées face aux souffrances des pauvres, alimentant par ailleurs leur snobisme… qui explique au pire leur cynisme, si l’on considère qu’ils choisissent de les ignorer et d’y rester insensibles.
-
Voire, pourrait-on s'interroger comme le fait E. Louis sur le fait qu'ils puissent y avoir « Un plaisir dans cette cruauté à faire souffrir » ?
-
Citations extraites des écrits de l'écrivain Édouard Louis dans « Qui a tué mon père » et d'un entretien réalisé par Blast dans l'émission « Le Macronisme est la cause, et l'extrême droite la conséquence » (21 Juin 2024), menée par la journaliste Soumaya Benaïssa.